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“Plus que la peur de la mort…” : Véronique Jannot se confie avec émotion sur son cancer de l’utérus

Du haut de ses 67 ans, Véronique Jannot est devenue un exemple de sérénité face aux épreuves de la vie. À l’âge de 22 ans, on lui a diagnostiqué un cancer de l’utérus. Un drame qu’elle a essayé de surmonter avec philosophie.

En 1981, les téléspectateurs découvraient Véronique Jannot dans la série Pause café. Ils ignoraient alors que celle qui crevait l’écran dans la peau de l’assistante sociale Joëlle Mazart venait vivre un drame“On m’avait diagnostiqué un cancer de l’utérus. Davantage que la peur de la mort, cela a signifié la fin d’un rêve: devenir maman. Je le suis devenue autrement”, s’est souvenue l’actrice de 67 ans dans les colonnes de Nice-Matin ce lundi 5 août. “Et au fil de mes prises de conscience, j’ai compris que si je n’avais pas vécu cela à 22 ans, je n’aurais peut-être pas développé cet amour des autres”, a précisé l’artiste qui s’est réfugiée dans le bouddhisme et a adopté une jeune tibétaineprénommée Migmar.

“C’est comme une météorite qui vous tombe dessus, cela crée en vous une urgence, une nouvelle ouverture, et l’on reçoit ce que les autres n’osaient pas donner avant forcément. Comme un vortex d’amour, que l’on a envie de redistribuer”, a ajouté celle qui a créé l’association Graines d’Avenir en 2005, pour soutenir les enfants tibétains en exil en plus d’être la marraine de l’association Rêves de Gosses depuis 2002. “Grâce à mes rôles, comme celui de Joëlle Mazart dans ‘Pause café’, qui m’ont beaucoup appris, j’ai reçu énormément de messages de remerciements de personnes que cette série avait aidées”, s’est réjouie Véronique Jannot.

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Après l’épreuve du cancer de l’utérus, Véronique Jannot a décidé de vivre le moment présent

La comédienne estime que le cancer de l’utérus qu’on lui a diagnostiqué à 22 ans fait partie des épreuves du passé qui construit celle qu’elle est aujourd’hui. Cap sur le présent et l’avenir désormais. “Le présent est mon refuge”, était le titre de son livre publié chez XO éditions en octobre dernier. “L’instant présent est celui qu’on ne pourra pas vous enlever. Jamais. D’où l’importance de le vivre. Il ne faut pas être projeté dans le futur, car cet instant présent va être déterminant pour cet avenir”, explique Véronique Jannot dans les colonnes de Nice-Matin.

“Le passé, c’est fini, vous ne pouvez plus rien faire. Vous ne pouvez qu’avoir éventuellement des regrets stériles. La seule chose utile, c’est d’accumuler les bonnes énergies pour rattraper éventuellement les erreurs du passé et ne pas les renouveler dans le futur”, lance dans le média local celle qui estime qu’il faut “toujours garder son libre arbitre”. Car, “vivre en conscience, c’est justement rester maître de ses actes et de ses pensées”. À méditer.

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